Page 9 - CFE - Rapport annuel 2016
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                                                                             Je suis vraiment bien servie au CFE
                                                                             et avec ma pâtisserie juste à côté

              Madame Mabrouka Mezrigui, Pâtissière                           du bureau de financement Ben Arous,
                                                                             je vois quotidiennement les agents

              Ayant déjà obtenu trois prêts du CFE Tunisie, Madame Mezrigui est une de nos clientes   de crédit, qui sont respectables,
              les plus fidèles. Elle a débuté son projet en 2012 avec l’appui de son mari et de ses   professionnels et serviables.
              filles, et elle emploie aujourd’hui trois personnes de plus grâce à sa persévérance et la
              croissance de son activité. Ses deux premiers prêts ont servi à l’achat d’équipements et à
              l’amélioration de son fonds de roulement. Grâce à son troisième prêt, elle compte rénover
              la façade de sa pâtisserie pour attirer davantage de clients, surtout en préparation du mois
              du Ramadan, où la demande en pâtisseries typiquement tunisiennes est à son apogée.





















          J’espère pouvoir nouer des partenariats
          qui pourront développer mon activité.
          Je remercie le CFE de son appui.





                                                      Monsieur Hichem Didi, Gérant d’un atelier de
                                                      confection textile, prêt-à-porter femmes

                                                      Amoureux du secteur textile, monsieur Didi a ouvert son projet de prêt-à-porter pour femmes
                                                      en 1984. Son atelier de confection emploie huit personnes, qui portent avec lui ce projet
                                                      depuis son démarrage. Bien que ce secteur ait connu des difficultés à la fin des années
                                                      2010, monsieur Didi a tenu bon et a continué de croire en son projet. Il sous-traite pour
                                                      des marques internationales tout  en produisant sa propre marque locale,  « Différent  ».
                                                      Le premier prêt qui lui a été octroyé a servi à structurer davantage son atelier. Au bout de six
                                                      mois, il a renouvelé sa demande pour un prêt deux fois plus important, ce qui lui a permis
                                                      d’améliorer son fonds de roulement.
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